18 mars / Kathmandu – Dunche en bus local.

En attendant le bus on fait connaissance avec les participants au trek, avec Ram, notre guide et avec les 4 porteurs.
Nous avons des places assises : quel privilège !
Dès le départ, des gens sont debout. La route est défoncée, étroite et des gens montent à chaque village, parfois avec de gros sacs de riz.
Sur le toit, une dizaine de personnes sont assis sur les bagages ; ils descendent avant les barrages de police et remontent après.

La route longe sans cesse des précipices vertigineux mais le bus a de bons freins.

Le voyage dure 7 heures avec une pause dal bat.
Une soirée à Dunche.
Après l'installation dans un lodge accueillant, nous allons nous promener.

Les gamins nous interpellent : « Namasté ! Give chocolate ! ».


Ram nous explique beaucoup de choses par rapport à tout ce qu'on voit. Dans le lodge, on mange une soupe délicieuse ; Syakpa et des momos. Il fait beaucoup plus froid qu'à Kathmandou.
Et à 20 h 30 nous allons nous coucher.

Thomas a dû prendre une petite fille sur ses genoux

16 mars en soirée

Après notre visite du  Temple de Swanyambhunath, nous restons une heure ou deux à l'hôtel. Puis nous partons faire la promenade proposée dans Lonely Planet : "Au sud de Thamel jusqu'à Durbar Square".
2 km en 2 h souvent dans la foule. Encore des temples, des marchés, des boutiques variées.

Stupa Kathesimbhu

Marché de Asan Tole, des fleurs pour les offrandes

Des feuilles de "quelque chose"

Des piments ... beaucoup trop à mon goût (de Marie-Paule)

Conducteur de rickshaw attendant le client

16 mars en fin d'après-midi - De Thamel à Burdar Square

Stupa Kathesimbhu

Des feuilles de bananier

Des piments de toutes les couleurs que Marie-Paule trouve trop abondants dans les plats locaux

Un des nombreux rickshaws qui sillonnent la capitale

Des fleurs pour les offrandes dans les temples

16 mars - Un autre monde

Ce matin, nous choisissons d'aller à pied au Temple de Swanyambhunath (à 45 min de l'hôtel). Nous comprenons assez vite pourquoi la plupart des touristes y vont en taxi. En effet, pour l'atteindre, il faut traversr les quartiers populaires, le long de la rivière Vishnumati, où vivent les intouchables. Castes inférieures qui sont en relation avec les animaux morts. Bien qu'officiellement interdites, les castes semblent perdurer.

Près du stupa, on observe un des nombreux lieux de crémation appelé ghat

La rivière traverse ici une décharge puante.

Y' a du boulot !!!

Ce n'est pas facile de se trouver là avec notre petit sac à dos et notre appareil photos. Le stupa gigantesque trône au sommet d'une colline ; les vendeurs de babioles religieuses ont envahi le site (c'est un peu comme à Lourdes).

Au fait, plein de gens prient dans ces lieux dans une ambiance plutôt tranquille. Nous avons passé la fin de la journée dans le centre hisorique de Kathmandu.
Demain, nous préparons nos bagages pour le trek.

Premier réveil à Kathmandu

Voilà, c'est fait : depuis hier soir, nous sommes népalais. Le trajet aéroport/hôtel nous a bien mis dans l'ambiance : route défoncée, circulation dense et à gauche (nous avons bien fait de ne pas apporter nos permis de conduire).

L'hôtel où nous vivons jusqu'au 18 mars

On profite des moments où le courant passe pour alimenter le blog. Ce matin, nous avons rencontré l'organisateur de nos treks. L'affaire s'annonce bien !
Ensuite nous sommes partis à la découverte des rues environnantes avec comme objectif de retrouver notre hôtel. Lire un plan, on sait faire ... mais lire le nom des rues en népali, c'est autre chose !

Nous avons mangé notre premier dal baht (du riz, des lentilles, des légumes et pas mal de choses fortes pas toujours identifiées). Il fait vraiment beau et on profite des jardins et de la terrasse pour récupérer du décalage horaire.

Du toit de l'hôtel, on aperçoit le temple de Swayambunath qu'on a décidé d'aller visiter demain

PS : Pour ceux qui n'ont pas pu tester le lien envoyé par Bruno dans son commentaire d'hier

et en prime une photo des gros pamplemousses qui poussent dans le jardin de l'hôtel

Le soleil se lève à notre arrivée à l'aéroport d' Abu Dahbi.

Nouq allons y passer cinq heures. On voit que les pétro dollars coulent à flot

Petit clin d'oeil aux Artistes à la Camapgne ... On dirait tout qu'on s'est fait piquer notre acronyme !

On dort mal dans l'avion ... mais ce n'est pas non plus génial dans l'aéroport.

Par contre, on mange bien !

J'avais oublié cette photo dans mon appareil. Un grand merci à Renée qui nous a conduits à la gare.

Il est 17 h. Nous sommes à l'aéroport de Roissy et nous allons enregistrer (dans 1 h 30) nos bagages.

Il tombe comme des petits flocons bien froids ... Allons-nous pouvoir quitter notre maison ? Le train partira-t-il comme prévu ? Et l'avion ? Allez ! Ça va bien se passer !